mercredi 2 juillet 2014

Le Foulon à la peine

Dur, dur, pour nos amis de la Gare. Après la nuit pluvieuse que nous avons eue dans la nuit de samedi à dimanche, il n'y a eu qu'une dizaine de vrais courageux à se déplacer. Après quoi, on a eu droit aux giboulées de mars ! Comme disaient autrefois nos grands-mères : « avec leurs bombes atomiques, ils ont déréglé le temps ! »
Allez, ce sera mieux la prochaine fois.

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